A NOTER ET RETENIR

MANIFESTATIONS, CONFERENCES, PARUTIONS

Manifestations, conférences et évènements organisés, soutenus ou signalés par la Fédération ou une Société affiliée.
Parutions d'ouvrages par la Fédération, une Société affiliée, des membres de l'une de ces Sociétés, ou, plus largement, dans les centres d'intérêt de ce site.

 

Avril 2021 Hors FSSV Gérard Louis - Haroué

Parution : Les tuilleries vosgiennes

Par Philippe Picoche

L’industrie rurale de la tuile et de ses dérivés n’a, contrairement à celle des forges, des verreries, du textile... que peu retenu l’attention des historiens.
La cause : la cruelle absence de documentation immédiatement disponible, conséquence du caractère éphémère de nombreux sites et de leur vulnérabilité au feu.
Si la visibilité de la fabrication des pièces en terre cuite, essentiellement locale, n’est guère évidente au niveau national, l’histoire de ces usines de villages éclaire complémentairement à celle d’autres domaines de fabrication, la période d’industrialisation de la France de la fin du XVIIIe jusqu’au milieu du XXe siècle.
Au-delà, initier une étude sur les tuileries permet d’accorder de l’intérêt à l’histoire des techniques, des matériaux, à celle de l’évolution du bâti dans l’espace rural.
La tuile installée parfois depuis plus de 150 ans sur la même toiture est la preuve d’une attention extrême portée à la protection des biens et des personnes.
L’auteur a ainsi voulu, à travers les monographies détaillées de plusieurs tuileries vosgiennes fondées sur des recherches archivistiques longues et passionnantes ainsi que sur des recherches dans les fonds privés, témoigner du travail des tuiliers et des tuilières de Deyvillers, Aydoilles, Grandvillers, Lerrain, Les Forges, Rambervillers…
Nul doute que les populations locales et au-delà, ainsi que les descendants de ces ouvriers et ouvrières trouveront un intérêt majeur à la lecture de cet ouvrage agrémenté d’une documentation iconographique fort riche et parfois rare.

L’auteur : Philippe Picoche a été inspecteur d’Académie. Docteur en histoire, il est passionné par l’histoire industrielle du XIXe siècle : moulins, féculeries, scieries, verreries et désormais tuileries. Auteur d’une thèse sur la verrerie de Portieux, il a publié également Le monde des chamagnons et des colporteurs, ainsi qu’un ouvrage qui retrace les derniers mois d’un jeune poilu de l’Orléanais, Bientôt mes 20 ans. Il a écrit des articles dans différentes revues ayant trait au monde ouvrier, à la diffusion de l’écrit à travers les campagnes françaises au cours du XIXe siècle...

Philippe Picoche a apporté son concours aux Journées d'études vosgiennes de Monthureux-sur-Saône en 2016. Son intervention donne lieu à un article Verrerie de Clairey - verrerie de Portieux, des liens personnels et industriels dans, De l'Ourche à la Saône entre Clairey et Monthureux,  les actes de ces JEV, p. 323.
 

Edition Gérard Louis - Haroué

Format 21 x 27,5 cm - 220 p.,- couv souple
Isbn : 978-2-35763-162-5
Prix public TTC : 27,00

Novembre 2020 Amis de la Vallée de Cleurie éd. Gérard Louis - Haroué

Le Haut du Tôt, l'esprit d'un village "nature"

par Bernard Cunin

L’association des Amis de la vallée de Cleurie et l’association ASF du Haut du Tôt ont assuré une réédition augmentée et abondamment illustrée de l’histoire du Haut du Tôt parue en 1996 en publiant un nouvel ouvrage : Le Haut du Tôt, l’esprit d’un village « nature ».

    Ce livre de 240 pages est paru aux Editions Gérard Louis en novembre 2020.

    L’histoire du village du Haut du Tôt commence lorsque les habitants des fermes dispersées sur ce plateau ont décidé en 1832 d’y construire une église et en 1865 d’y bâtir une école. La paroisse du Haut du Tôt, érigée en 1838, regroupait environ 80 foyers, soit de 400 à 500 habitants.

    La vie du village du Haut du Tôt est caractérisée au cours du XIXème siècle par une diminution sensible de sa population et durant la première moitié du XXème siècle par le choc des guerres, celle de 14 – 18 qui enleva la vie à 19 de ses jeunes gens et celle de 39 - 45 qui apporta destructions et désolation.

    Ces épreuves ont poussé les habitants à se mobiliser pour que le village retrouve une nouvelle vitalité et s’adapte à l’évolution de la vie moderne.

    Aujourd’hui, la vie au Haut du Tôt, ce sont des fermes rénovées au milieu de prairies toujours entretenues, ce sont des auberges et autres lieux d’accueil pour les personnes attirées par ce site exceptionnel, c’est la Fête des plantes, qui connaît chaque année un grand succès, symbole à la fois de tradition et de renouveau, c’est l’église au centre du village, animée par une équipe toujours fidèle à la foi des aïeux, c’est enfin une association dynamique, l’ASF, l’âme de cette communauté, qui répand entre ses membres entraide et solidarité et manifeste le bonheur de vivre au Haut du Tôt en fleurissant le village et en mettant en valeur son patrimoine.

Dimanche 11 octobre 2020 Hors FSSV Hôtel du Département des Vosges, Salons Jeanne d’Arc

Report - Journée d'étude johannique

Le Conseil départemental se voit dans l'obligation de reporter la journée d'étude sur Jeanne d'Arc prévue ce dimanche, en raison de l'indisponibilité des intervenants, due aux répercussions de la crise sanitaire sur leur lieu de résidence. Nos excuses vont à celles et ceux qui se réjouissaient avec nous de cet événement qui n'est que reporté.

 

Bouter les Anglais hors de France - Jeanne d'Arc

Organisée par les Archives départementales des Vosges

 

Le programme

9h - Accueil

9h30 - Introduction de la journée

9h50 - Introduction générale, par Philippe Contamine, membre de l’Institut

10h25 - Dévotions et pratique religieuse de Jeanne d’Arc, par Catherine Guyon, Maître de conférences (HDR) en histoire médiévale à l’université de Lorraine, CRULH Nancy-Metz, correspondante de l’académie de Stanislas.

11h05 - Baudricourt et le Barrois, par Aymeric Landot, professeur agrégé d’histoire, ancien élève de l’ENS de Lyon, Cergy Université

11h40 - L’itinéraire de Jeanne d’Arc, par Valérie Toureille, professeur des Universités, Histoire du Moyen Âge, Cergy Université

12h15 - Pause méridienne

13h40 - Jeanne d’Arc et le siège de Troyes, par Laurent Vissière, maître de conférences en histoire médiévale à Sorbonne Université

14h15 - Jean de Luxembourg et Jeanne d’Arc, par Céline Berry, docteur en Histoire, Université d’Orléans

15h - La canonisation de Jeanne d’Arc, par Christophe Le Dréau, agrégé d’histoire, diplômé de Sciences-Po Paris

15h35 - Jeanne, une Vosgienne ?, par Damien Parmentier, docteur en Histoire et Civilisation européenne, Directeur général des services du Conseil départemental des Vosges

16h15 - Clôture

 

Hôtel du Département des Vosges, Salons Jeanne d’Arc

Télécharger le programme

 

Renseignements

Archives départementales des Vosges
4, avenue Pierre-Blanck
Parc économique du Saut-le-Cerf
88050 Épinal
Tel. : 03.29.81.80.70
vosges-archives@vosges.fr
Site internet : https://archives.vosges.fr
Facebook :
Archives88
Twitter :
archivesvosges

 

Septembre 2020 Hors FSSV Epinal

La Lithographie et les Imageries d'Epinal

1796/1896

La Lithographie de sa création à Munich aux Imageries d'Epinal

 

François Bitterly - Alain Beretta


On sait que l’imprimerie typographique, inventée au 15e siècle par Gutenberg, a permis le développement du livre, mais on a peut-être moins conscience qu’une seconde invention par Senefelder a fait considérablement évoluer l’imprimerie : la lithographie. Aussi notre ouvrage se propose-t-il de montrer son importance tout au long du XIXe siècle. A cet effet, il évoquera d’abord les circonstances de la naissance de ce nouvel art, en 1796 à Munich, et sa diffusion progressive en Europe. Puis il se focalisera plus précisément sur son implantation en Lorraine (Metz, Nancy...) et surtout dans les Vosges  à partir du XIXe siècle, essentiellement dans les deux Imageries d’Epinal, Pellerin et Pinot, jusqu’en 1896, année du centenaire de la lithographie et de l’Imagerie Pellerin.
Grâce à l’abondante iconographie (plus de 150 images) accompagnant le texte, cette évocation d’un siècle d’utilisation de la lithographie permettra de mesurer son rôle capital, tant dans le domaine artistique que commercial, avant qu’elle ne soit progressivement concurrencée au début du XXe siècle par un nouveau procédé d’impression, l’offset.

Un livre relié, couverture cartonnée, format : 24 x 27 cm, ­ 184 pages,
190 illustrations n & b et couleur
Tirage limité
Isbn : 978-2-35763-148-9

Editions Gérard Louis, Haroué

Prix du livre : 29,00 € à partir du 15 novembre 2020


Prix du livre en souscription jusqu’au 10 novembre 2020 : 24,00 €
(+ 3 € si expédition)


Pour télécharger le bon de souscription

Pour télécharger les tarifs de commande en nombre

 

Août 2020 Société d'étude et de sauvegarde des anciennes mines Le Thillot

"...a bien deux mille pas dans le creus d'une montagne..."

De Bussang au Thillot : retour sur les richesses minières vosgiennes à la Renaissance

 

Francis Pierre & Alain Wéber †
Préface du Prof. Dr. Rainer Slotta, 
ancien directeur du Deutsches Bergbau-Museum, Bochum


À l’extrême sud de la Lorraine sous les ballons de la chaîne vosgienne, au long de la Moselle naissante, les villages de Bussang, St-Maurice, Fresse, Le Thillot, Le Ménil, Ramonchamp, Ferdrupt et Rupt ont été le siège d’une économie montagnarde particulière. L’aventure commencée au milieu du XVIe siècle avec l’ouverture de mines d’argent se poursuit aux XVIIe et XVIIIe siècles par une métallurgie basée sur l’extraction du cuivre, puis l’exploitation du fer conclut le processus au milieu du XIXe siècle.


Sur ce territoire façonné par les activités minières et métallurgiques, les traces et les vestiges souvent méconnus sont encore visibles, fréquemment cachés et protégés par la forêt.  


Les études historiques et archéologiques menées par les membres de la Société d’Étude et de Sauvegarde des Anciennes Mines ont sorti de l’oubli une histoire et un patrimoine particulièrement originaux. Parmi ces originalités, la découverte archéologique des modalités de l’invention d’une nouvelle technique utilisant la poudre noire en mine au Thillot en 1617, a récemment placé ce site en référence internationale.

 

Édition SÉSAM 2020
Prix : 20 € - 240 pages - ISBN : 978-2-9573489-0-9

 

Sommaire

Préfaces par Rainer Slota et Francis Pierre

Avant-propos et Introduction

1- Les mineurs arrivent dans un monde organisé

L’époque pionnière

Un monde parfaitement organisé et contrôlé

Le territoire

2- Les règles de fonctionnement et les juridictions

Le droit minier

Les ordonnances et les lettres patentes : 1486, 1508,1557, 1788, 1596, 1610

L’encadrement

Application es règles d’exploitation et de gestion minière

Le nom des mines

La justice

Le fonctionnement. Le suivi comptable

3- La mine – organisation et métiers

Les mines de Ramonchamp

La structuration des travaux miniers, les galeries, puits et chantiers

Les mineurs et les métiers de la mine

Les ouvriers de marteaux

Les autres catégories de métiers en souterrain

Les ateliers et métiers en surface

Deux métiers particuliers : les « tireurs de verges » et les prospecteurs

Les unités minières différentes des unités lorraines

L’équipement des mineurs

Les missions d’expertise, on fait appel aux mineurs

4- Les infrastructures de la vallée sous contrôle des mineurs

Les grandes voies de circulation

Le réseau des chemins miniers de la vallée

La halle du marché au Thillot

Un moulin pour les mineurs

5- Une société particulière

Les avantages et privilèges

Importance de la communauté minière, effectif des ouvriers

La religion

Les mineurs sont mobiles

Les rudes gaillards, loin des fortunes espérées

L’entraide

Les rapports entre mineurs et non mineurs

Les risques du métier : accidents et maladies

Les pathologies particulières dues aux conditions de travail

Les connaissances médicales de l’époque

Une évaluation de la nature des risques des métiers de la mine et de la métallurgie dans la vallée de Ramonchamp

Les maladies épidémiques : la peste et les épizooties

Influence du climat sur les travaux extérieurs

Les créatures du monde souterrain

6- Exploitation et production

Les techniques d’exploitation pratiquées sur ce type de gisement

Une innovation de rupture : l’usage de la poudre noire

La question des nouveaux outils

Une architecture de galerie particulière

7- L’eau et la mine : les modifications hydrauliques

Les problèmes miniers liés à l’eau

Les étangs et les mines

Les installations hydrauliques de la mine d’argent de Fresse

8- La forêt – Le bois

Les rapports particuliers entre les mines, l’administration forestière et les habitants

Le charbon de bois : spécialité de Saint-Maurice

Les familles des charbonniers

Les charretiers du charbon

9- Le minerai et son traitement

Un minerai de cuivre exceptionnel

Le traitement du minerai, tri et enrichissement

La fonderie : domaine des fondeurs et affineurs

L’essai chez l’essayeur ou l’épreuve chez l’éprouveur

La fonderie du Thillot en évidence dans l’Encyclopédie

10- Les productions métalliques

Les productions d’argent

Les débouchés du cuivre

Les conditionnements et le transport du cuivre en rozette

11- Les revenus des mines de cuivre

12- Évènements et difficultés

Un voisinage particulier, Château-Lambert et Le Thillot

Un siècle troublé, les guerres du XVIIe siècle

Le rattachement à la Franche-Comté

13- Avec la paix retrouvée : un siècle de reprise et ses aléas

14- Les villageois contestent et relèvent la tête

15- Les mines de fer de Saint-Maurice

16- La dernière mine des Vosges : 40 ans de fluorine à Rupt

17 : Les mines imaginaires du Val de Ramonchamp

18- Les dernières tentatives avant la fin de l’aventure

19- Dernières actions

20- Conclusion : le renouveau des mines

Annexes

Chronologie des titulaires d’offices et de fonctions

Les mineurs

Bibliographie

Lexique minier d’après les termes des textes propres au Thillot

Remerciements



 

Décembre 2019 Société d'histoire locale de Remiremont et de sa région Remiremont

Pays de Remiremont - 20

Le textile dans le Pays de Remiremont


Si Remiremont a vu naître l’industrie du coton avec la manufacture de François Delorme en 1765, elle a du attendre 1871 pour connaître une véritable industrialisation avec notamment les trois grandes filatures de la Madelaine, de Béchamp et de la Moselle. Elle avait été précédée par sa voisine Saint Etienne où s’était développée dés les années 1880 l’importante manufacture des Grands Moulins alliant filature et tissage. A Vecoux, un peu en amont, les eaux de la Moselle ont également été, dés 1855, mises à profit pour actionner un tissage mécanique. La fin du textile a généré l’apparition d’importantes friches textiles dont le traitement a trouvé à Cornimont, où les usines s’échelonnaient le long de la Moselotte, l’application la plus significative du Massif vosgien. Aujourd’hui le musée de Ventron fondé en 1992 par la Société d’Histoire de Remiremont perpétue la mémoire de cette grande saga du textile vosgien.
 

Publié en 2019 par le Société d'Histoire de Remiremont et de sa Région

18 €

Sommaire détaillé et vente dans notre Librairie en ligne

 

 

Décembre 2019 Société d'histoire locale de Remiremont et de sa région Remiremont

Le Saint-Mont

Aux origines du Pays de Remiremont

620 - 2020

 

A l'occasion du 1400° anniversaire de l'installation du monastère de saint Amé et Saint Romaric au Saint-Mont

 

Lorsqu'il arrive au sommet du Saint-Mont, après une montée dans la forêt, le promeneur est d'abord émerveillé en découvrant la vue sur les vallées et montagnes vosgiennes qui l'entourent, un panorama exectionnel toujours différent d'une saison à l'autre. Puis peu à peu l'histoire de ce lieu imprègne l'esprit du visiteur, avec l'envie d'en savoir plus. C'est cette histoire, qui deure epuis quatorze siècles, que raconte ce livre.


Tout commence avec la fondation sur ctte montagne, au VIIe siècle, du premier monastère rural féminin de Lorraine qui abritera Saint Amé, saint Romaric, saint Adelphe, les fondateurs ; sainte Claire et sainte Gébétrude les premières abesses. Deux siècles plus tard les religieuses s'installent dans la vallée, laissant la place à un établissement de moines augustins puis bénédictins. Ces moines représentaient une force religieuse et spirituelle, accueillant les fidèles dans l'église et les chapelles du sommet, organisant des pélérinages. Il avaient aussi un rôle économique et social en prise directe avec les populations des villages environnants, sous la protection de leurs prestigieuses voisines : les chanoinesses du Chapitre noble de Remiremont, héritières du monastère du VIIe siècle.


A la Révolution, les moines et les chanoinesses disparaissent, les posessions du monastère sont vendues. Le Saint-Mont devient une propriété privée, orientée vers l'exploitation forestière. En 2015, la commune de Saint-Amé achète le sommet du Saint-Mont garantissant ainsi l'accès libre, le maintien des lieux en l'état et la poursuite des fouilles archéologiques.


Celles-ci ont débuté il y a une soxantaine d'années avec quelques amateurs passionnés, puis l'importance et la qualité des découvertes, présentées aussi dans ce livre, ont conduit à des campagnes annuelles du fouilles programmées, toujours en cours, menées par des professionnels.
A découvrir également : le culte des saints du Saint-Mont et leurs représentations, l'histoire de leurs reliques et bien d'autres choses encore. Une bibliographie vient compléter l'ouvrage.

 

Sommaire détaillé et vente dans notre Librairie en ligne

 

Un ouvrage de 334 pages

320 illustrations

Format 21 x 27

Publié par le Société d'Histoire de Remiremont et de sa Région



 

 

2019 Hors FSSV

Jean-François Mangin, l'homme qui imagina Manhattan

Résumé :


1784, Joseph François Mangin, avocat, natif de Dompaire, a 26 ans lorsqu’il décide de s’embarquer pour Saint Domingue. Rejoint par son frère cadet, Charles Nicolas, tous deux exercent  comme gestionnaires de plantation, arpenteurs, soldats, s’adaptant aux événements : mouvements politiques, révolutions et guerres franco-anglaise, avant  de partir pour Les Etats-Unis en 1793.


Cinq ans plus tard, Charles Nicolas est de retour sur l’île alors que Joseph François fait carrière d’architecte à New York, réalise un plan, référence pour le développement de la ville et celui de plusieurs bâtiments dont le City Hall et l’ancienne cathédrale Saint-Patrick encore visibles aujourd’hui.


Joseph François Mangin l’homme qui imagina Manhattan est une biographie familiale fruit du travail de recherches de Thibaud Leroy descendant direct de Charles Nicolas Mangin. Il a exploité les  archives familiales dont une quarantaine de lettres écrites par les Mangin à leur famille et d’autres sources consultées  en France, plus particulièrement en Lorraine,  en Angleterre et aux Etats-Unis.


Ce récit, parfois romancé, auquel Edmond Varenne, biographe, a contribué, n’est pas seulement celui de deux Lorrains partis outre-mer pour y vivre une aventure hors du commun mais c’est aussi le récit rigoureux et documenté de moments forts de l’histoire et des bouleversements de la société de la fin du XVIIIème siècle et du début du XIXème siècle dans les Antilles et sur les rives de l’Amérique du nord.

C.T.

Pour accéder au site de l'auteur.

 

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